You know my name.

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Ravi de te rencontrer.

Surnom : Jeed, Jed Age : 17 ans Année : Sixième année Année d'arrivée : Première année Classe : Élémentaire, mon cher Watson.

Boy, you're an alien

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It's supernatural

Jeadly il vous sourit, il est gentil avec vous. Ceux qui ne le connaissent pas y croient et les autres regrettent bien de l'avoir cru. Il fait ça pour mieux vous atteindre parce que ça fait toujours plus mal quand c'est un être à qui vous tenez. Vous ne méritez même pas qu'il prenne la peine de s'amuser à vous faire souffrir, de vous écraser avec ses belles chaussures de sport payées bien cher par Papa et Maman. Il vaut bien mieux que vous, pas de doutes sur lui-même, pas de problèmes existentiels juste qu'il est largement au-dessus de vous. Tout le monde le lui dit depuis toujours, qu'il est mieux que tous les autres alors il a fini par l'assimiler.

Jeadly il vous surveille, il est là derrière vous à analyser vos faits et gestes et après il retourne dans sa chambre isolée où il a un bon fauteuil et une tasse de thé pour réfléchir à vous. Bon en fait il n'aime pas le thé donc c'est un chocolat chaud avec beaucoup de sucre mais c'est pour faire style voyez. Aussi, il joue du violon depuis qu'il est très jeune et il s'est beaucoup attaché à son cher violon qu'il traite mieux que tous les autres êtres humains parce que son violon, il le vaut bien. Il veut comprendre tout le comportement humain en clamant haut et fort qu'il a horreur de la philosophie et de la psychologie.

Jeadly, il vous manipule pour avoir ce qu'il veut. Il ne veut pas de nourriture, il est légèrement anorexique. Il ne veut pas d'affection, vous ne méritez même pas de l'approcher. Il ne veut pas de présence, il n'a besoin de personne. Il veut juste que vous restiez prévisible et sous ses chaussures. Si vous vous rebellez, vous ne pourrez plus rien manger à la cantine. Vous ne pourrez plus dormir la nuit à cause d'agaçants bruits de violon. Vous ne pourrez plus marcher sans être suivi. Il sait se faire discret malgré sa grande taille et il vient vous casser les pieds pour vous honorer de sa présence.

Jeadly, il parle tout seul et si vous ne le comprenez pas, il vous rassurera en disant que lui au moins, il se comprend. Il ne vous parle pas parce que vous êtes pas assez malin pour lire dans ses pensées, en suivre le fil et arriver à tout comprendre ce qu'il ne fait pas non plus. C'est un grand incompris qui vous dédaigne parce qu'il ne sait pas quoi faire de vous. Il sait pas s'il vous aime. Il sait juste quand il vous déteste et quand c'est pas le cas, ça le perturbe. Et il vous attribue tous les malheurs du monde avec un raisonnement si tordu que vous finirez par le croire et vous perdre vous-même.  

Jeadly, il ment comme il respire. Vous êtes un papillon noir dans son monde enflammé. Il va vous écraser avec un bazooka en faisant exprès de viser un peu à côté pour vous laisser en vie. Il va vous raconter qu'il ne sait pas jouer aux cartes alors qu'il en a un jeu étalé sur le sol de sa chambre. Il va vous raconter qu'il adore le thé alors qu'il trouve que ça n'a pas de goût. Mais des fois dans ses mensonges, il glisse la vérité comme ça vous prenez ça pour un mensonge. Il aime beaucoup les frites bien grasses avec un hamburger plein de choses chimiques pas très nettes. C'est certainement l'une des vérités que vous ne croirez jamais et qu'il camoufle si bien en mensonge.

Jeadly, il est très calme. Il ne perd pas son sang-froid quand il écrase un cafard. Il s'en fiche quand vous insultez sa personne, sa famille, ses proches, son violon et d'autres gens. Enfin en apparence mais rassurez-vous, s'il est en colère, vous allez le sentir dans des mots très acides. Il ne vous tapera pas, il n'est pas violent ou du moins, pas directement. Par contre, il peut s'amuser à mettre des fourmis rouges dans votre lit, un cafard broyé dans votre jus d'orange ou même du poil à gratter dans toutes les tenues qui sont dans votre placard. La plupart du temps, c'est de la vengeance pure et simple. Sauf s'il n'aime pas votre tête.

Jeadly, il est aussi humain si l'on cherche bien. Il lui arrive de laisser craquer la carapace de cette personne horriblement hautaine et d'avoir besoin de la présence de quelqu'un mais il ne le dira jamais. Il refusera de montrer sa faiblesse parce qu'elle ne devrait même pas exister. Il peut douter sur le fait que ce soit vous qui ne le méritiez pas et non le contraire. Il peut rester enfermé dans le noir pendant des heures à remuer son archet selon le rythme d'une musique à laquelle il aura pensé. Il peut aussi sortir tout sourire en cherchant une autre victime qu'il pourra attacher quelque part.

Jeadly, il veut pas de vous par générosité parce qu'il sait bien qu'il est trop lui pour que vous lui surviviez.

It's the end of the world as we know it.

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✎ Don : Contrôle de l'alcool
✎ En détail : "Mon don est très utile. Je peux vous saouler avec du lait ou rester totalement sobre avec de la vodka, il me suffit de varier le degré d'alcool dans ces produits. J'ai jamais tenu l'alcool mais ça se voit pas parce que je m'enfile des verres d'alcools fort comme du jus d'orange juste parce que je baisse leur degré d'alcool. Et je peux faire du trafic de boissons alcoolisées, une bouteille de lait et vous serez ivre. Même pas besoin d'acheter de bouteilles pour tout oublier, je serai ravi de vous aider moyennant quelques compensations. Je peux même vous saouler sans rien vous faire boire mais c'est encore plus louche que d'être ivre en buvant un verre de lait alors j'évite. Par contre, je peux vous dessaouler même après une douzaine de bouteilles d'alcool. Très utile ce don, un pareil don m'était forcément destiné."
✎ Maitrise : 9/10
✎ Lui & les ELEM : "Ils sont peut être plus méritants de ma présence que les autres."
✎ Lui & les SPE : "Ils ne se plient à rien, c'est insupportable."
✎ Lui et les PHY : "Ces animaux sont très perturbés, cette classe est un vrai zoo."
✎ Lui et les PSY : "Intéressants."

Jolie petite histoire.

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Cadet Rousselle est bon enfant.

Une grande chambre avec les jouets habituels. Des petites voitures, des figurines de soldats, des costumes de chevalier et une couronne bien en vue sur le lit. Un petit garçon qui joue innocemment en créant une guerre médiévale grâce à un château en plastique. Une domestique qui entre et l'enfant se lève rapidement pour se diriger vers celle-ci demandant avec un grand sourire :

- Quand père rentrera-t-il ? - Monsieur, vous devriez l'appeler "Papa". - Dans ce cas, quand Papa rentrera-t-il ? - Tard ce soir, vous ne pourrez pas le voir.

Déçu, il retourne à ses occupations et la domestique prend rapidement congé. C'est toujours la même rengaine, il est absent, il n'a pas de temps à consacrer à son fils. Pourtant, ce petit le mérite largement. On lui donne jouets et compliments alors il mérite bien d'avoir ne serait-ce qu'un père mais non. Quel ingrat. Il a la chance de t'avoir pour fils et il n'est même pas présent pour les grandes occasions comme ton anniversaire. Il te l'a bien dit qu'il t'aime, il te l'a bien dit que tu es un fils fantastique mais son absence en dit plus long que ses mots. Tu n'as pas besoin de lui de toute façon, tu es nettement au-dessus de cette saleté qui ne peut pas porter d'attention à son enfant à cause des affaires. Tu es meilleur que tous les autres, c'est eux qui te l'ont toujours dit.

Une grande cour avec les enfants habituels. De petites filles qui jouent à la marelle, de petits garçons qui ne cessent de courir et des instituteurs bien en vue au milieu de la cour pour surveiller tout ce petit monde. Un petit garçon pleure chaudement alors qu'un autre lui a pris un jouet. Un des adultes qui intervient et le petit Jeadly nie toutes les accusations.

- Je n'ai pas volé sa voiture. - Tu lui as pris sa voiture sans sa permission donc tu l'as volée.- Non. Je la mérite largement, elle m'est destiné. Cette voiture m'appartient.- Tu me copieras cent fois "Je ne dois pas voler de jouets à mes camarades."- Non. Vous serez virée et je n'aurai rien à vous rendre.

Après l'école, le petit retourne jouer mais il se rend finalement compte que ce n'est plus drôle. Il n'a que huit ans et déjà il perd le goût de ces jeux. Et puis il râle après cette maîtresse qui s'est mêlée de ses jeux à lui alors il va voir son père qui, pour se débarrasser de ce gêneur, lui accorde ce qu'il veut. Le lendemain, cette maîtresse ne dit plus rien à Jeadly et la semaine suivante, elle ne vient même plus enseigner. Tu le lui avais bien dit qu'elle serait virée. Rien n'est aussi puissant que toi.

Un grand manoir avec les agitations habituelles. Les domestiques qui s'occupent des tâches ménagères, quelques invités qui discutent avec les propriétaires sur les actions qu'il faudra placer en bourse. Un jeune homme de dix ans qui réfléchit dans sa chambre en profitant du répit qui lui est accordé pour cette fin de semaine. Il laisse entrer une domestique qui commence à lui parler.

- Monsieur, votre père requiert votre présence.- Oui. Moi aussi j'ai requis sa présence il y a quelques années. - Il aimerait que vous jouiez du violon devant vos invités.- Oui. Moi aussi j'aimerais qu'il joue avec moi quelques fois dans la journée.- Vos invités voudraient voir votre talent.- Ce ne sont pas mes invités. Ce sont ses invités et je n'ai aucunement l'intention de les voir.- Bien. Je m'en vais en informer monsieur votre père.

Quel égoïsme. Son fils n'est pas une bête de foire à montrer pour amuser les partenaires commerciaux. Ils ne voulaient certainement pas d'enfant ou bien juste pour s'assurer qu'ils auraient un héritier pour leur empire. Ils l'ont "élevé" de sorte qu'il se sente supérieur à tout le monde pour qu'il n'hésite pas à écraser les autres pour s'élever de plus en plus. Sûrement tes parents pestent-ils contre toi intérieurement mais ce n'est pas trop grave, ils s'en fichent de toi.

Un grand bureau avec les affaires habituelles. Un ordinateur qui est allumé et qui affiche une page remplie de nombres et de calculs, des cahiers où figurent des comptes, un grand fauteuil qui trône devant le bureau qui supporte tout ceci et un petit verre d'alcool. Un petit rouquin est entré sans permission dans le bureau de son père et il a bu le verre de vodka qui se trouvait auparavant à droite du clavier de l'ordinateur. Un homme entre et sermonne son enfant.

- Que fais-tu là ?- Rien. Je regardais dans quelle sombre pièce tu fumes des cigarettes et tu bois de l'alcool.- Tu n'as rien à faire ici, sors.- Père, tu n'as aucun ordre à me donner. Tu seras bien mort dans peu de temps avec toutes ces saletés que tu consommes. - Va-t'en avec tes menaces ou tu seras privé de tout et je t'enverrai en pension loin d'ici. - Tu ne crois pas si bien dire.

Il a déjà reçu une lettre de la part d'un certain établissement nommé Aisling et comme ses parents ne lisent jamais de courriers si futiles, il ne seront pas contre son intégration à cet asile de fous. Il se contentera de leur annoncer qu'il se barre vers un pensionnat et qu'il leur fichera le paix. Prendre le temps de leur expliquer qu'il possède le contrôle de l'alcool, qu'il l'a découvert en buvant un verre de jus d'orange fortement alcoolisé et qu'il peut faire tout un tas de trucs loufoques serait inutile. Ils ne t'ont servi à rien alors tu vas trouver des pantins plus étranges et plus utiles.

Un grand hall avec les personnes habituelles. Des domestiques qui s'agitent encore et toujours pour le linge, la vaisselle et le ménage, les deux propriétaires de tout ce bordel qui regardent un jeune homme. Jeadly a déjà préparé ses affaires lui-même et s'apprête a partir pour sa nouvelle école. Son sac contient sa couronne qu'il a toujours gardée et il porte l'étui de son violon.

- Père, mère, je m'en vais à Aisling. C'est un pensionnat qui me formera à bien gérer les finances de vos entreprises quand je serai enfin débarrassé de vous.- Bon débarras. Nous aurons bien un autre enfant pour te remplacer et tu ne toucheras pas notre empire.- Tant mieux. Je n'ai pas l'intention de vous succéder mais plutôt de faire ma vie malgré les mauvais parents que vous avez été. - Bien sûr. Au revoir, on se retrouve en enfer.- On va dire ça comme ça, père.

Peut être sa mère a-t-elle laissé couler une larme le long de sa joue trop maquillée mais elle n'était pas là non plus pour l'épauler quand il en avait besoin alors ce ne l'intéresse plus. Il est vite parti de cet endroit maudit via une limousine payée par ses parents qui ont toujours voulu se débarrasser de lui. Tu n'as que douze ans et tu te diriges déjà vers un endroit où ils n'y seront pas. Y'aura sûrement d'autres fous mais ça va t'amuser de faire ton petit roi prétentieux avec ta couronne en plastique.

Lisoun

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La maison est en carton. Les escaliers sont en papier.

Age : Le double du nombre de péchés capitaux Sexe : Fleur Avatar :  Haruki Nakoshi de Starry☆sky～ Comment avez-vous connu le forum ? Double compte de Sheva Pensez-vous demander un parrain/une marraine ? Non Autre chose ? LES ROUX DOMINERONT LE MONDE